DSC_0252.jpg
DSC_0252.jpg
DSC_0244.jpg
DSC_0244.jpg
DSC_0239.jpg
DSC_0239.jpg
DSC_0163.jpg
DSC_0163.jpg
DSC_0044.jpg
DSC_0044.jpg
DSC_0046.jpg
DSC_0046.jpg
DSC_0124.jpg
DSC_0124.jpg
DSC_0114.jpg
DSC_0114.jpg
DSC_0006.jpg
DSC_0006.jpg
previous arrow
next arrow


Le nom "Escalade" fait référence à une tentative infructueuse d’escalader l’enceinte fortifiée de la Genève d’alors. Dans la nuit du 11 au 12 décembre 1602, le Duc de Savoie et ses troupes essayèrent en vain d’envahir la cité au moyen de longues échelles.

La tradition veut que dame Royaume - épouse du monnayeur de la République - entendant le tumulte de la bataille qui se déroulait sous ses fenêtres - prit sa marmite de dessus le feu et en coiffa un savoyard qui tomba mort. On doit d’ailleurs à cette illustre citoyenne la plus charmante des traditions genevoises.

Le soir du 12 décembre, tous les genevois ont chez eux une marmite en chocolat, frappée aux armes de Genève et remplie de légumes en massepain. La coutume veut que le plus vieux et le plus jeune brisent la marmite ensemble, en disant la phrase rituelle "ainsi périrent les ennemis de la République " avant que toute l’assemblée ne se précipite pour la déguster non sans avoir - auparavant - chanté la première strophe du "cé qu’è lainô".

Pour tout renseignement ou commande, adressez-vous à une confiserie genevoise: https://www.lesconfiseursromands.ch/index.php/membres/geneve

 


Marmite genevoise